Oui, à l’exception des cicatrices chéloïdes. Elles sont dues à une croissance excessive du tissu cicatriciel et sont reconnaissables à leur aspect plus marqué sur la peau. De plus, la cicatrice doit être complètement guérie. C’est-à-dire qu’au moins deux ans se sont écoulés depuis que vous avez contracté la cicatrice. Dans certains cas, il est nécessaire de prétraiter la cicatrice avec d’autres techniques.

Le camouflage des cicatrices se fait de préférence en hiver, lorsque votre peau est à peine plus pâle. N’oubliez pas que le pigment ne bronzera pas avec vous en été après une journée au soleil.

Oui et non. La peau peut être anesthésiée localement, mais vous la sentirez toujours un peu. Il est normal que la tache soit un peu bizarre après le traitement ; après tout, on dirait que la peau est à nouveau ouverte. Ce phénomène n’est que temporaire et peut être amélioré en frottant la peau avec une pommade cicatrisante pendant une semaine.

Cela dépend de la taille de la cicatrice. Pendant l’admission, nous pouvons en faire une bonne évaluation.

Vous pouvez bien sûr constater que la couleur est différente, mais dans la plupart des cas, vous aurez besoin de plusieurs traitements pour obtenir les meilleurs résultats. Nous pouvons souvent en donner une bonne idée lors de la séance d’accueil.

Oui, les tissus cicatriciels sont très imprévisibles. Il est donc nécessaire de voir d’abord la cicatrice. Cela nous permettra de mieux déterminer si elle est traitable et si les résultats souhaités sont réalisables.